Les Mécaniciens
Le mécanicien (depuis 2018)
La radio me passionne depuis que j’ai 10 ans. J’étais fasciné par tous ces sons qui pouvaient sortir d’une si petite boîte, en temps réel. Une ouverture sur le monde, dans laquelle on s’imagine nous-même nos propres images.
Marqué et nourri par Max, Laurent Baffie, Cauet, François Pérusse ou Roblès, vient un jour où l’envie de voir l’envers du décor me prend. Je visite des studios, je pratique et apprends l’animation et la production sur une webradio… J’adore l’ambiance dégagée par tous ces studios de radio ou l’on se « met à nu ». La petite adrénaline qu’on a avant que la lumière rouge se déclenche est stressante, mais excitante ! Pourtant, la radio, ça n’a jamais été ma profession. Juste une passion, dans le temps libre…
J’écoute la radio en permanence, avec une oreille attentive. Avec les années, j’ai développé une fascination particulière pour ses archives, ses histoires, et son patrimoine. En parler et la raconter est quelque chose d’encore plus passionnant. C’est ce qui m’a motivé à créer Radioscope sur le web pour partager tout ça, et forger ma culture radiophonique.
Alors, quand la mécanicienne m’a proposé un jour de reprendre le flambeau de « La Mécanique des Ondes », j’ai accepté ce nouveau challenge. Et c’est avec un grand plaisir que je viens chaque mois parler de radio à la radio.
La mécanicienne
Coordinatrice des programmes de la radio Fréquence Protestante entre 2008 et 2017, je sors de mon sous-sol et vais à la rencontre des acteurs de la bande FM.
Bercée par Max et Difool, la radio m’a toujours accompagnée mais je n’y avais jamais pensé comme étant un but professionnel. Ma passion c’était la production musicale.
Pourtant, on m’a mise à l’antenne d’une webradio, d’une radio campus etc… mais toujours en tant qu’invitée. Je m’y suis toujours sentie bien, dans cette ambiance feutrée de studio, où on est enfermé, seul, face à tellement de personnes invisibles. Et puis un jour, on me l’a proposé, faire un boulot d’assistante de production, mais en radio. Le défi était grand, mais pas insurmontable. C’était et c’est toujours un plaisir quotidien de développer une antenne, d’avoir à produire quotidiennement des programmes, en bref : de faire tourner cette mécanique au gré des défis.